06/08/2012

Gabon: Le plan "A" d'insurrection du gangster Mba Obame

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En attendant de vous dévoiler, la semaine prochaine, le plan B de sa stratégie insurrectionnelle qui devra amener Zeus à accepter de force la tenue de la « conférence nationale souveraine », nous vous livrons le plan A de ce qu’AMO compte exécuter à partir de cette semaine. Et surtout avec qui il va le faire .

C’est à Paris , bien avant même le fameux sommet qu’il a organisé, que le grabataire de Neuilly a eu la belle idée. Celle de déplacer l’insurrection dans une ville mondialement réputée insurrectionnelle : Port-Gentil.

André le sait mieux que quiconque, les deux fois, sous Omar, que le pays a véritablement vacillé, c’est lorsque Port-Gentil a brûlé. A chaque fois que Paris est directement intervenu dans la politique intérieure gabonaise, c’est lorsque Port- Gentil a brûlé.

C’est donc à Port-Gentil, et nulle part ailleurs, qu’il faut lancer la bataille finale. Il faut dire que le bilan de ses trois années d’opposition n’incite guère à l’encouragement. Cela ne tient en rien au découragement des militants, mais beaucoup plus à la somme des batailles perdues.

Car l’honnêteté impose ici de reconnaître qu’il n’a eu aucune victoire. Pas une seule ! Et dire qu’on n’a lésiné sur aucun moyen. Quitte même à afficher publiquement son antipatriotisme et toute sa haine pour le Gabon en militant ouvertement contre l’organisation de la CAN 2012.

Pis encore en hurlant, à travers la gorge déployée de Marc Ona, son amour pour la Guinée Equatoriale. Mais au finish, ce fut un cinglant échec.

Puis vint la grande bataille des législatives. Une guerre menée verbalement par AMO depuis son lit d’hôpital en Azanie et conduite au front gabonais par ses suppôts de l’« opposition véritable » et de la « société civile véritable », le tout accompagné des chants propagandistes de la « presse véritable ». Et les intrépides caravaniers de lancer l’assaut avec leur cri de guerre : « pas de biométrie, pas d’élection ». Mais au finish, encore un échec cuisant.

Les deux autres, le New York Forum Africa et le voyage de travail de Zeus connaîtront la même bérézina avec un Marc Ona obligé de jouer les yanglards lanceur de cailloux aux policiers et un Georges Mpaga manifestant à Paris au milieu d’une dizaine de Blancs. Il faut le dire : tout cela commençait à sentir la guigne.

En effet, le fait même d’avoir tenté de paralyser l’UOB durant des mois, d’avoir délibérément joué de la provoc’ envers les pandores pour obtenir la bavure recherchée, d’avoir voulu imposer l’année blanche par la violence, le mensonge, le dénigrement et les manipulations orchestrées par le candidat malheureux à la présidentielle, le Pr Albert Ondo Ossa (0,2%) et que malgré tout l’on ait réussi à boucler l’année scolaire a ébranlé leurs certitudes.

En effet, sans année blanche, sans un mort, sans un bâtiment incendié c’est carrément la poisse infligée à AMO. A quoi bon s’obstiner à mener une guérilla à l’UOB puisqu’au bout de neuf mois de combats, c’est la défaite totale ?

L’embrasement escompté n’ayant pas eu lieu, il fallait donc prendre du recul et mener à froid la réflexion. Avec le froid de Paris, AMO a donc réussi son aggiornamento en choisissant Port-Gentil comme nouveau théâtre de ses opérations.

En quittant Paris, la « société civile véritable » avait donc l’agenda de Port- Gentil tout dispo. Il ne restait plus qu’à le mettre en pratique. Et c’est ainsi que sous la conduite d’une ONEP, dont l’aile radicale est désormais aux ordres d’AMO, la fameuse intersyndicale (COSYGA, CGSL, CSAG, CSG, UTG, SYNEC, OMEPR) s’est réunie à Port-Gentil dans l’optique de lancer une « grève générale reconductible ».

L’objectif est clair : paralyser l’économie pour susciter des émeutes et saboter la fête du 17 Août, seule solution, pour AMO et ses suppôts, d’imposer la conférence nationale, unique tremplin pour leur retour au gouvernement. Une véritable obsession !

Malheureusement, ce joli plan A vient d’échouer parce que les vrais syndicalistes de l’intersyndicale, ceux qui ont de l’amour pour le pays, ont refusé de suivre ce scénario sombre. Reste maintenant à savoir quelles sont les passerelles d’AMO dans l’ONEP…

 

Gabon: Le gang de l'opposition manioc est-il au-dessus de la loi ?

 

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La dissolution du parti politique dénommé Union nationale (UN), décidée le 25 janvier 2011 par le gouvernement de la république, via le ministère de l’Intérieur, suite à la prestation de serment d’André Mba Obame suscite l’attention des observateurs de la vie politique gabonaise.

Qui ne comprennent pas que des responsables d’un parti politique dissout, donc qui n’existe plus, puissent défier la puissance publique en organisant des activités politiques au nom de ce même parti .

Comme cela a été le cas le 21 juillet dernier lorsque, au prétexte de rendre compte à leurs militants des « victoires » engrangées à Paris autour de la rencontre Ali Bongo-François Hollande, Zacharie Myboto et ses comparses ont occupé une partie de la chaussée située devant l’ancien siège de ce parti.

Ils vont même pousser la bravade jusqu’à laisser intervenir le sieur André Mba Obame au téléphone, via Skype, pour entretenir les « militants » sur l’imminence de la tenue de la… conférence nationale. Ce qui pose un réel problème dans le pays.

En effet, le ministère de l’Intérieur veut-il nous expliquer, certes implicitement, que la dissolution de ce parti a été levée en catimini, ainsi que le clament des proches de Monsieur Myboto ?

On sait que la loi, en la matière, est limpide : tout parti dissout par la puissance voit son siège scellé et interdit d’accès.

Or dans le cas de cet ancien parti , on constate que le siège demeure ouvert au public, et que des manifestations politiques s’y déroulent sans que Jean-François Ndongou ne s’en émeuve outre mesure.

Du coup, au siège du Parti démocratique gabonais, les « camarades » ne savent plus où donner de la tête.

Surtout que pour en rajouter, voilà que des médias se mettent à lancer des invitations à certains cadres du parti dissout pour d’éventuels débats… avec ceux du parti dont est issu le gros des troupes qui composent le gouvernement actuel !

De deux choses l’une : ou bien le gouvernement ne sait pas quel rôle jouer dans cette affaire , au point de faire montre de mollesse alors que le sujet est d’importance, ou alors Jean-François Ndongou et ses collègues ont décidé de fragiliser le chef de l’Etat , et son pouvoir avec .

 

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Gabon: Nos hommes politiques ont-ils des convictions ?

 

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Cette question mérite d’être posée, au regard des mouvements des hommes politiques depuis 1990 jusqu’à ce jour.

La conviction, d’après le Larousse, est une certitude, une croyance ferme. C’est avoir la foi. En se référant à la définition du dictionnaire, on serait tenté de se demander qui, au Gabon, nourrit et entretient des convictions.

Cette interrogation concerne aussi bien les hommes politiques de la majorité que ceux de l’opposition. En effet, en jetant un regard rétrospectif, juste après la conférence nationale de mars-avril 1990, on se rend compte que les convictions n’ont jamais existé chez nos hommes politiques.

Nous sommes même tentés de dire comme Charles Maurice de Talleyrand Périgord : « En politique, il n’y a pas de convictions, il n’y a que les circonstances ».

Si la conviction est une certitude, une croyance ferme, nous ne pouvons donc pas accepter que Paul Mba Abessole, Paul Biyoghé Mba, Louis Gaston Mayila, Zacharie Myboto, André Mba Obame, René Ndémézo’Obiang, pour ne citer que ceux-là, aient jamais eu une moindre conviction dans leur engagement politique.

Tant nombreux parmi ces compatriotes sont ceux qui ont milité dans des mouvements estudiantins proches de l’opposition de l’époque (AGEG, FEANF…). Mais une fois rentrés au pays, ils ont, sans la moindre résistance et sans état d’âme, massivement adhéré au Parti démocratique gabonais.

D’autres par contre, ont fait semblant de créer des partis dits de l’opposition, avant de tendre les bras au même PDG qu’ils prétendaient combattre.

Ces va-et-vient n’avaient aucun autre objectif que d’attirer l’attention de celui qui nommait aux plus hautes fonctions de l’Etat, Omar Bongo Ondimba.

En les prenant au cas par cas, vous comprendrez, très aisément, que nos hommes politiques, ou plutôt nos politiciens ont toujours été guidés par l’appât du gain et non par une quelconque conviction.

C’est le cas de Paul Mba Abessole. Champion des pirouettes, il n’a surpris que ceux qui voulaient être surpris.

En 1990, à l’issue de la conférence nationale, il crée avec d’autres compagnons le Morena des bûcherons, qui deviendra plus tard le Rassemblement national des bûcherons. Suite à un conflit juridique l’ayant opposé à son ancien lieutenant , le professeur Pierre André Kombila, il va créer le rassemblement pour le Gabon.

Entretemps, il avait déjà abandonné les rangs de l’opposition pour aller échouer dans ceux de la majorité présidentielle qu’il avait pourtant qualifiée de « Majorité façon, façon » ( s i c ) .

Devenu proche collaborateur d’Omar Bongo Ondimba, l’homme ne va pas se gêner pour laisser s’exprimer sa boulimie d’argent et étaler son penchant pour la bonne chair. Où était sa conviction ?

Paul Biyoghé Mba, alors proche collaborateur d’Omar Bongo Ondimba et membre influent du PDG, quitte ce parti avec fracas pour aller créer sa propre chapelle politique, le Mouvement commun de développement (MCD) . Quelques années plus tard, il dissout son MCD pour revenir, ô damnation !, dans « la maison du père », le PDG Où était passée sa conviction ?

Comme lui, Louis Gaston Mayila s’était essayé à ce yoyo. Proche collaborateur du même Omar Bongo Ondimba, Mayila faisait la pluie et le beau temps au palais présidentiel, au point de revêtir la veste de gendre du chef de l’Etat . Suivez notre regard…

Mais piqué par on ne sait quelle mouche tsétsé, il quitte le PDG pour aller créer son propre parti, le Parti de l’unité du peuple (PUP). Quelques années plus tard, retour dans la maison du père ! Où était passée sa conviction ?

Certes, les Mba Obame, Eyéghé Ndong, Oyé Mba, Missambo etc. sont un mélange des genres qu’on ne peut situer pour l’instant, tant cette alliance sent le faux à dix milles lieues, et transpire l’opportunisme.

Bref, c’est là un bel attelage hétéroclite, entre gens qui ne se sont jamais aimées d’amour, à l’exception de deux d’entre elles . De l’avis général, ce qui les rassemble se résume en peu de mots : « Tout, sauf Ali ». C’est pour vendre ce projet de société aux gabonais qu’ils avaient créé leur machin dénommé Union nationale.

Or la roublardise étant pour nombre d’entre eux une seconde nature, le 25 janvier 2011 soit deux ans après la présidentielle de 2009, André Mba Obame va mettre son génie à contribution pour jeter le bébé, avec l’eau du bain.

D’où la dissolution du parti, sur décision du gouvernement de la république en date du même jour. Car pour Ange Noir, le plus important était à venir : liquider politiquement ses compagnons pour rester seul, face à « son frère » Ali Bongo Ondimba.

Pour un analyste de la vie politique locale, « l’attelage Union nationale ne pouvait prospérer tant les antagonismes et les comptes entre partenaires n’avaient jamais été soldés . AMO est accusé d’avoir chassé Myboto du gouvernement, et d’avoir savonné la planche à Missambo. C’est le même qui est soupçonné d’avoir obtenu la peau d’Oyé Mba lors des accords de Paris ». Sans blague !



Gabon: Le gang dissout chantre du tribalisme

 

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En août 2009 et après avoir promis qu’on entendrait bientôt parler de lui (sic), André Mba Obame, alias Ange Noir, surprenait les Gabonais en menant une campagne électorale basée essentiellement sur un seul argument : l’ethnie.

Au motif, selon l’ancien ministre de l’Intérieur, qu’étant issu de « la communauté ethnique la plus importante », il ne pouvait pas perdre cette élection.

Et pour bien montrer qu’il ne plaisantait pas, loin de là, il fit diffuser des messages subliminaux à ses ouailles, du genre « Ali veut islamiser le Gabon », ou « Ali n’est pas un Gabonais » bref, tous ces messages et slogans avaient un seul même substrat : « Tout, sauf Ali ».

D’où, avec un zèle à nul autre pareil, certains de ces affidés n’hésitaient pas à déclarer, toute limite franchie : « C’est notre tour, nous allons reprendre notre pouvoir ».

Avec la complicité bien marquée de l’archevêché de Libreville, soupçonné (ou accusé) d’avoir donné des instructions claires, nettes et précises au clergé à travers certaines régions du pays, allant dans le sens de l’orientation du vote des brebis, le jour « J ».

Pour arriver à leurs fins, les chantres de l’ethnisme décrétaient, urbi et orbi, que tous les membres de la communauté qui ne voteraient pas pour Ange Noir, ou qui battraient simplement campagne pour appeler à voter au profit du candidat Ali Bongo Ondimba devaient être bannis. Sinon lapidés.

Trois ans plus tard, nous y sommes ! Ce qui a fait dire à Alain Claude Bilie bi Ze, porte-parole de la présidence de la république (26/6) : « Je ne sais pas en quoi je serais un traitre. J’ai trahi qui ? Le problème de fond est simple : je m’appelle Bilie bi Ze. A ce titre, je devais être avec André Mba Obame et non pas avec Ali Bongo Ondimba. C’est peut être en cela que je serais un traitre ». Et toc !

Il n’a pas tort, Bilie bi Ze. Depuis le 3 septembre 2009, jour de la proclamation officielle de la présidentielle anticipée, tous les « moadzang » réputés proches d’Ali Bongo Ondimba sont voués aux gémonies.

Dont, entre autres, Clémence Mezui, Sébastien Ntoutoume Békalé, Raphael Ntoutoume Nkoghé, Raymond Ndong Sima, Paul Biyoghé Mba, Roger Owono Ngwa etc. Quand ils ne sont pas traités de traitres à la cause (sic), ils sont promis à l’échafaud ou au bûcher. On se croirait aux temps de l’inquisition !

Depuis le 3 septembre 2009, les ouailles d’Ange Noir, toute raison jetée aux orties, tiennent assènent le même cantique : « On nous a volée notre victoire ». Mais de quelle victoire s’agit-il, bon sang !

Tous ceux qui avaient suivi la campagne menée par Ali Bongo Ondimba et Ange Noir l’avaient relevé : quand le premier labourait le terrain du nord au sud et de l’est à l’ouest, aidé en cela par la puissante machine à gagner les élections qu’est le PDG (et ses satellites), le second, auréolé de son expérience d’ancien ministre de l’Intérieur, avait préféré assurer le service minimum car, pensait-il, il lui suffisait de faire le plein dans le Woleu-Ntem et l’Estuaire, principalement Libreville, pour rafler la mise.

Drôles d’analyse et de stratégie de la part d’un prétendu génie ! Résultat des courses, il arriva largement derrière Ali Bongo Ondimba dans le « Sud », tandis que le même Ali Bongo Ondimba réussit à glaner des voix dans le Woleu- Ntem (12%) et dans la province de l’Estuaire.

Voilà la troublante réalité qu’avait minimisée Ange Noir qui, comme à son habitude, croyait pouvoir ruser pour s’accaparer du pouvoir.

D’ailleurs et s’il le souhaite, qu’il daigne donc se présenter contre Ali Bongo Ondimba en 2016, les observateurs lui prédisant déjà une seconde déculottée, notamment dans l’ensemble des provinces dites du « Sud » où sa campagne de 2009 a laissé des traces et des souvenirs pas toujours reluisants.

Au lieu de s’époumoner sur l’inaudible appel à la tenue d’une conférence nationale souveraine qui lui assurerait un retour au banquet de la république, Ange Noir gagnerait à se doter d’une machine politique susceptible de lui permettre de battre campagne en 2016 sur l’ensemble des neuf provinces que compte le Gabon, le coup d’éclat de 2009 ayant vécu.

 

Gabon: Etudiants délinquants aux ordres du gang de l'opposition manioc

 

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C’est l’occasion ou jamais, pour le gouvernement de mettre des noms sur les mains noires qui manipulent la communauté estudiantine gabonaise.

Lundi (30/7) au palais de justice de Libreville, des hauts magistrats ont été aperçus devisant avec les étudiants à qui ils auraient conseillé de foutre le bordel s’ils voulaient arracher leur collègue aux mains de la justice.

Pour mémoire, c’est le 4 juillet dernier que l’étudiant Nicolas Béyémé avait été arrêté et poursuivi pour « trouble à l’ordre public ».

De sources concordantes, l’étudiant serait soupçonné d’avoir voulu mettre le feu à l’université Omar Bongo. Pour cela, il se serait procuré de l’essence transportée dans un sac.

Une version que réfutent ses condisciples ou, à tout le moins, ses « combis »(sic) qui estiment que leur collègue est poursuivi pour rien car étant innocent.

Pourtant, le comportement des étudiants débarqués en masse au tribunal de Libreville tend à tordre le cou à ces affirmations cela, au regard de la barbarie affichée dans ce temple universellement reconnu : séquestration des magistrats et des justiciables, fermeture du portail de l’institution, blocage du fourgon de la sécurité pénitentiaire, etc.

Mais, plus grave, des hauts magistrats auraient monté les étudiants pour les inciter à faire du désordre au sein même du palais de justice.

Ce qui, au regard du caractère politique et ethnique qui entoure le mouvement d’humeur déclenché à l’UOB depuis près de six mois, crédibilise l’idée selon laquelle les étudiants « grévistes » seraient manipulés aussi bien par des politiciens véreux que par des magistrats qui leur auraient promis une impunité en béton armé au cas où.

L’affaire étant désormais publique, l’opinion attend de voir comment réagiront le gouvernement et le conseil supérieur de la magistrature, au vu de la gravité des faits.

Commentaire d’un « petit » magistrat, véritablement déçu du comportement des « aînés » : « On savait que certains étudiants bénéficiaient de la protection de certains lobbies politiques. Mais là, c’est la goutte d’eau qui déborde du vase, avec l’implication de certains hauts magistrats qui, comme par hasard, sont issus de la même communauté ethnique que l’étudiant poursuivi ».



 

05/08/2012

Gabon: Taux de croissance 2012 à deux chiffres pour le hors pétrole

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CONFÉRENCE DE PRESSE DU 03 AOÛT 2012 PAR LE PORTE-PAROLE DE LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE .

Il y a quelques jours les autorités en charge de l’Education Nationale ont rendu public les résultats du CEPE, du BEPC et du BACCALAUREAT pour l’année académique qui s’achève. Le Président de la République félicite vivement tous les élèves qui ont réussi ces examens et encourage ceux qui sont ajournés à redoubler d’ardeur au travail afin de connaître à leur tour des succès l'année prochaine. Nous ne rentrerons pas dans les détails des résultats, le Ministre de l’Education s’étant longuement exprimé sur la question au cours d’une émission télévisée.

 

La Journée du drapeau

Le mois d’août est marqué par la tenue des festivités commémorant l’accession de notre pays à la souveraineté internationale. Cette année, nous célébrons le 52ième anniversaire de l’indépendance du Gabon. Les Gabonais et les Gabonaises, comme à leur habitude, doivent se mobiliser pour célébrer avec fierté et dans l’allégresse cette fête de l’indépendance.

Comme depuis deux ans déjà, le 09 août de cette année, il y aura la Journée du drapeau. A cette occasion, les Administrations, les commerces, nos habitations et nos voitures doivent arborer fièrement le drapeau national : vert jaune bleu.

Cette année, alors que la troisième édition va être célébrée, le thème retenu est la ‘’Maternité allaitante’’, Sceau de la République Gabonaise conformément à l’article 3 de la loi n°35/59 du 29 juin 1959 portant désignation du Sceau de la République Gabonaise.

En effet, au même titre que le Drapeau, l’Hymne National et les armoiries de la République, le Sceau est une marque d’identification qui représente le symbole de l’autorité.

Entouré de deux feuilles d’épice, le Sceau de la République symbolise une mère qui allaite avec amour, tendresse et protection, son enfant. La mère représente ici la patrie gabonaise qui proclame les aspirations et rappelle les devoirs du peuple tout en se donnant l’obligation de nourrir ses enfants, de les protéger, de les éduquer, de les soigner et de veiller en permanence que par le fruit du travail et de l’amour du pays, ils vivent dans le bonheur.

Pour sa part, l’enfant représente l’ensemble des citoyens attachés à la patrie à laquelle chacun et tous devons respect, protection, obéissance, dévotion et amour.

La symbolique de la Maternité allaitante formule ainsi une relation d’interdépendance, une situation fusionnelle dans laquelle se jouent la dialectique des droits et des devoirs concrets entre la mère Patrie et ses enfants.

Dans l’article n°2 de notre constitution il est mentionné que « L’emblème national est le drapeau tricolore, vert, jaune, bleu, à trois bandes horizontales, d’égale dimension ». Le vert symbolise la forêt équatoriale riche et dense, le jaune le soleil et le bleu la mer qui borde plus de 800 kilomètres de nos côtes. Le drapeau tricolore vert, jaune et bleu est donc l’emblème national de la République Gabonaise depuis 1960, date d’accession de notre pays à l’Indépendance.

Pour l’édition de cette année, deux séquences sont prévues. La première se déroulera à la place de l’Indépendance où il y aura plusieurs activités et la seconde sera organisée à la Présidence de la République où se tiendront une parade militaire et le cérémonial d’allégeance au drapeau.

N’ayant pas pris part à la dernière cérémonie d’allégeance au drapeau, certains membres du gouvernement récemment nommés, les Présidents du CES et du CNC, certains officiers généraux et supérieurs des Forces Armées Gabonaises, de la Gendarmerie Nationale et des Forces de Police Nationale sont conviés à l’accomplissement de ce devoir patriotique.

 

Quelques données économiques au 1er semestre 2012

Le Président de la République, Chef de l’Etat, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dans l’axe 5 de son projet de société « l’Avenir en confiance » avait pris l’engagement de diversifier les sources de croissance et de développement de notre économie dont l’un des soucis est la résorption du chômage des jeunes.

Pour tenir cet engagement, le Président de la République a multiplié des partenariats avec nombre d’investisseurs privés tant nationaux qu’étrangers. Le Chef de l’Etat a pour cela mis un accent particulier sur les secteurs hors pétrole. Les résultats, à ce jour, sont encourageants car le taux de croissance sur 2012 est envisagé à 6,5% selon les indications du FMI et cette croissance est soutenue par l’activité hors pétrole qui y contribue à hauteur de 10%. Un résultat à deux chiffres qui n’avait pas été atteint par notre économie depuis des décennies.

Le taux de croissance hors pétrole est notamment porté par :

- Le secteur des mines ;

- La relance du secteur bois ;

- Les BTP ;

- Les services.

S’agissant du secteur des mines la croissance est essentiellement portée par la bonne tenue au 1er semestre du manganèse et des résultats de la COMILOG. Toutefois, ce chiffre aurait pu être meilleur si le transport des marchandises n’avait été perturbé par les besoins de transport liés à l’organisation de la CAN.

Une petite part de cette croissance revient également à l’exploitation de l’or. La société MANAGEM a en effet démarré ses activités. Elle emploie aujourd’hui 134 personnes dont 79% de gabonais parmi lesquels 17% de cadres et 62% d’ouvriers. L’entreprise extraie pour le moment 45 à 50 kilos d’or par mois. Ce chiffre devrait doubler à terme pour s’établir autour de 100 kilos d’or par mois. L’entreprise prévoit d’employer 250 personnes pour atteindre sa pleine production.

Par ailleurs le partenariat passé avec OLAM a commencé à porter ses fruits avec la préparation des pépinières qui fourniront la future plantation en attendant le lancement du projet d’hévéaculture du Woleu-Ntem. La première phase de ce projet commence cette année sur 5 hectares et s’étendra sur 5000 hectares l’année prochaine. Toutes les dispositions sont prises pour l’exécution progressive du projet qui emploie déjà, à ce jour, 600 personnes entre Bitam et Minvoul.

En dehors du Woleu-Ntem, OLAM est présent dans trois autres provinces : ESTUAIRE, NGOUNIE et OGOOUE-IVINDO.

En phase de lancement des activités dans les zones géographiques énoncées, OLAM emploie à ce jour 2600 personnes à savoir :

- 1.300 pour les plantations de palmier à huile de MOUILA ;

- 600 pour les plantations de palmier à huile de KANGO ;

- 700 pour les exploitations des villages BILIBA (OVAN) et EBESSI (MAKOKOU).

Aussi, dans la Zone Economique Spéciale de NKOK, il y a près de 1000 personnes qui sont employées chaque jour par les entreprises qui y exercent essentiellement dans les bâtiments et travaux publics.

Il est à noter que dans les périphéries des chantiers d’OLAM se développent des commerces et des activités agricoles pour faire face à la forte demande des employés des chantiers.

RESUME : A ce niveau d’implantation, les activités d’OLAM ont généré 3200 emplois sur l’ensemble du territoire sans inclure les emplois crées par les activités connexes.

 

Le séjour du Président de la République en Grande Bretagne

Le séjour britannique du Chef de l’Etat revêt un double caractère : sportif et diplomatique.

Au plan sportif, le Président de la République est allé, à l’instar des autres Chefs d’Etat, apporter son soutien aux sportifs gabonais qui prennent part aux J.O de Londres. Le bilan de notre participation à cette compétition sera fait, au moment opportun, par des autorités en charge des sports.

Au plan diplomatique, le Président de la République, a été reçu par son Altesse Royale le DUC de YORK, le vendredi 27 juillet 2012 et a accordé une audience au Secrétaire d’Etat britannique en charge de l’Afrique, M. Henry BELLINGHAM, le mercredi 1er août 2012.

Au cours de l’audience avec son Altesse Royale le Duc de York, le Président de la République a présenté à son interlocuteur sa vision économique et surtout sa ferme volonté de voir des hommes d’affaires britanniques venir investir au Gabon dans des domaines aussi variés que les mines, le bois, la pétrochimie et le tourisme…

Sur un tout autre plan, le Président de la République a exposé à son Altesse la nouvelle politique environnementale et du développement durable de notre pays.

En retour, son Altesse a rassuré le numéro un gabonais de la volonté britannique de raffermir nos relations économiques et commerciales et de son concours personnel en vue de l’aboutissement heureux de ce dossier.

S’agissant de l’audience accordée au Secrétaire d’Etat en charge de l’Afrique, les échanges entre les deux hommes ont porté entre autres sur :

- La nécessité du renforcement des relations économiques et commerciales entre nos deux pays ;

- L’intérêt que des opérateurs économiques britanniques accordent à notre pays en vertu de la sécurisation des investissements induite par les dernières réformes engagées par le Président Ali BONGO ONDIMBA ;

- La convergence de vue de nos deux Etats sur des questions se rapportant au développement durable, à l’environnement, au changement climatique, à la lutte contre la pêche illégale et à la sécurité maritime…

Les deux hommes ont par ailleurs échangé sur les crises en Afrique et l’élection qui est intervenue à la Présidence de la Commission de l’Union Africaine.

RETOMBEES La GRANDE BRETAGNE envisage l’ouverture d’une mission diplomatique au Gabon mais en attendant son implantation, elle va ouvrir dès l’année prochaine un Bureau Economique à LIBREVILLE.

 

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

Gabon: Crise politique ou crise sociale ? NON... CRISE DU VENTRE !

 

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Pour le commun des gabonais, la crise est sociale, et non politique. Elle est sociale pour la simple raison que le pouvoir en place a hérité d’un pays au bord de l’explosion sociale, et non politique.

Qui ne se souvient pas de la démission fracassante de Jean Eyéghé Ndong de la primature, alors que tous les secteurs d’activités étaient en grève ? Qui ne se souvient pas des trêves sociales négociées avec les syndicats ? Qui ne se souvient plus des grèves de la toute-puissante Onep ?

Le pouvoir actuel a donc hérité d’une situation sociale illisible, caractérisée par un désarroi total des populations sur tous les plans. Bien qu’insuffisantes encore, les courageuses réformes entreprises par le nouveau locataire du palais du bord de mer commencent à porter leurs fruits.

C’est le cas des régularisations des situations administratives des agents de l’Etat. C’est le cas aussi de : l’opérationnalité de l’assurance maladie obligatoire (CNAMGS), réhabilitation des structures hospitalières, à l’instar de l’ancien Centre hospitalier de Libreville bref, le pays est en chantier. Ce qui veut dire qu’il y a des emplois qui se créent, certes en nombre insuffisant.

La crise sociale est bien réelle, i l faut l’avouer. Il appartient à l’exécutif de mettre en place les mécanismes appropriés afin de régler définitivement certains problèmes récurrents tels que les délestages sauvages, les pénuries d’eau, les poubelles géantes et à ciel ouvert, la cherté de la vie, l’impunité etc . , autant de dossiers laissés en l’état par ceux-là même qui crient aujourd’hui au loup !

La crise politique, disons-le tout net, est une invention sortie tout droit des cerveaux embrumés des professionnels du ridicule, comme nous les nommerons désormais car ils ne sont pas des opposants, au sens noble du terme.

En effet, ces messieurs qui ont connu des fortunes diverses lors de l’élection présidentielle d’août 2009, continuent à faire croire à leurs ouailles qu’ils auraient remporté cette compétition, alors qu’il n’en a jamais rien été.

Dans ce cas, que peuvent revendiquer par exemple Jean Eyéghé Ndong, Zacharie Myboto ou Casimir Oyé Mba qui, chacun, avaient jeté l’éponge avant l’heure ?

Comme tout le monde le sait, le premier a quitté la course pendant la campagne. Le second a obtenu un score à faire rigoler des enfants de la petite section à la maternelle (4%), tandis que le troisième avait attendu le dernier moment pour se déclarer non partant. De vrais foudres de guerre !

Le cas André Mba Obame est celui d’un enfant gâté, vivant toujours aux frais de la princesse. Ange Noir ne revendique même pas une victoire électorale, il revendique un retour triomphal au gouvernement. Ce qui serait pour lui une bien grande consolation.

Tel un bébé qu’on console avec un bonbon ou du lait sucré pour qu’il arrête de pleurer, André Mba Obame apparaît de plus en plus comme le principal soutien à la politique de « son frère », Ali Bongo, Ondimba. Et cela, de plus en plus de compatriotes en sont convaincus ! Il suffit de regarder dans quelles conditions il a quitté le Gabon pour s’en convaincre. A l’époque, le gouvernement avait parlé de « raisons humanitaires »(sic).

Non, Mba Obame n’est pas un homme politique, il est simplement un cas social qui sera examiné avec diligence. Sa place est depuis longtemps réservée et gardée au chaud, et il le sait. Vous remarquerez d’ailleurs qu’il ne critique presque jamais son « frère Ali », tout comme son « frère Ali » ne le critique presque jamais.

Mais, Ange Noir est coincé, dos au mur, face à ses propres troupes et à ses propres turpitudes. Pour parler comme au quartier, « il a trop parlé pendant la campagne, il a trop parlé après la campagne ». Cela, en fanatisant plusieurs parents, amis et connaissances, c’est-à-dire « la communauté ».

Résultat des courses, alors qu’il souhaite maintenant changer de trottoir pour aller rejoindre « son frère », le voilà qui a peur de se faire lyncher pour « haute trahison ». Voilà pourquoi il cherche une porte de sortie honorable.

Mais comme tout bon professionnel du ridicule, il se trouve à court d’idée spectaculaire, susceptible d’obtenir l ’adhésion de l’opinion publique. Ainsi coincé, on voit défiler dans sa tête tous types de projets, à commencer par sa pitoyable prestation de serment du 25 janvier 2011, en qualité de « président de la république » pour ensuite aller se constituer prisonnier au PNUD. Puis, il expérimente la ville morte, sans succès.

Avant de toucher le fond lorsqu’il s’est essayé au boycott de la visite officielle du président gabonais en France. Echec et mat !

On comprend pourquoi, usé, il vient de sortir sa dernière botte secrète : la tenue d’une conférence nationale souveraine. L’idée ayant été rejetée par le pouvoir, le voici qui annonce son retour triomphal au bercail ; un bercail qu’il souhaite tout de même mettre à feu et à sang. Sacré personnage !

Redevenons sérieux : le contentieux électoral né de l’élection du 30 août 2009 a été vidé au terme d’un processus qui s’était étalé sur un mois. Depuis, la communauté internationale a reconnu la crédibilité du scrutin, ainsi que la légitimité du candidat déclaré vainqueur.

Depuis, toutes les institutions constitutionnelles sont en place, et elles fonctionnent. D’où vient alors cette crise politique brandie par nos professionnels du ridicule ?

Pour notre part, nous souhaitons que le président de la république, en sa qualité de première institution du pays, renoue avec le dialogue et qu’il accorde une oreille attentive aux forces vives de la nation, comme il l’avait fait en 2010.

Et si les professionnels du ridicule tiennent vraiment à leur conférence nationale, comme l’a dit le Premier ministre Raymond Ndong Sima, ils savent à quelle porte frapper pour adresser leur demande. Qu’ils n’aient pas honte de la faire car, après tout, Ali Bongo Ondimba n’est-il pas aussi leur président ?

 

Gabon: Funeste projet de déstabilisation

 

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Les professionnels du ridicule seraient les principaux instigateurs de ces barbouzeries. Comme toute rumeur qu’il faut la prendre avec des pincettes, celle-ci est à prendre très au sérieux, au regard du climat entretenu actuellement par les mauvais perdants car, a-t-on coutume de le dire,«prévenir vaut mieux que guérir».

Ces rumeurs faisant état des actes de sabotage et de guérilla urbaine à Libreville, Port-Gentil et Oyem vont bon train. Si elles sont fondées, il faudra alors reconnaître que les professionnels du ridicule auront franchi la ligne rouge.

En effet, pourquoi vouloir détruire ce que les autres ont peiné à construire des années durant ? Cherchant par tous les moyens à créer leur crise politique, les professionnels du ridicule veulent désormais passer la vitesse supérieure.

Si nous sommes convaincus que Zacharie Myboto ne cautionnera jamais ce type d’entreprise, qu’en est-il de Jean Eyéghé Ndong , d’André Mba Obame et des quelques vat- en-guerre soupçonner d’être prêts à mettre le pays à feu et à sang ?

Pour mémoire, ce funeste projet ne date pas d’aujourd’hui. En 2009 déjà, notre compatriote et confrère Francis Salah Ngoua Beaud l’avait dénoncé au plus fort de la campagne électorale. A l’époque, certains avaient pensé à un montage politique. A tort, vu que ce projet serait sur le point d’être sorti des cartons.

A ce propos, l’utilisation des étudiants de l’UOB en est la parfaite illustration. L’irruption de certains parmi eux, lundi 30 juillet au tribunal de Libreville a choqué tous ceux qui s’y trouvaient. Parmi ces étudiants, se trouvent certainement des kamikazes d’un autre genre qui seront utilisés pour ces basses besognes.

D’ailleurs, l’étudiant poursuivi par la justice n’avaitil pas de l’essence et des allumettes dans son sac pour brûler l’université Omar Bongo ? Heureusement, cette première manche, celle du lundi 30 juillet, a frappé au coeur de la justice gabonaise, où règne une certaine impunité. Les pauvres magistrats, qui n’ont eu le salut qu’en prenant leurs jambes à leurs cous… par une porte dérobée !

Au Gabon, nous n’avons pas la culture de la guerre, du chaos . André Mba Obame voudrait peut-être l’expérimenter. Avant lui, Paul Mba Abessole s’y était essayé. Il y eut des dizaines de morts.

Entre-temps, Mba des bois s’est embourgeoisé sans jamais avoir réalisé son rêve de devenir président de la républ ique. Entre-temps, des familles entières continuent de pleurer leurs enfants.

En 2009, à cause des manipulations des professionnels du ridicule, le pire fut évité à Port-Gentil, bien qu’on parle de « morts » suite à l’intervention des forces de défense pour y rétablir l’ordre et la discipline.

Mais comme toujours, ce sont les enfants des autres qui auront payé le prix fort tandis que les enfants des « leaders »(sic) étaient tranquillement reclus dans leurs bunkers de La Sablière et des quartiers huppés de la capitale.

Si les seigneurs de guerre ont d’autres pays de substitution en cas de guerre civile ou de guérilla urbaine, il est regrettable de le dire, la majorité des Gabonais n’ont que ce pays comme refuge. En temps de guerre ou de guérilla urbaine, où iront-ils?

Comme toujours, ce sont les enfants des autres qui seront utilisés comme de la chair à canon, pendant que les enfants des « leaders » seront tranquillement en sécurité à l’étranger, par exemple en Guinée équatoriale.

En voulant absolument créer une crise politique au Gabon, les professionnels du ridicule n’ont pas retenu les leçons du passé. Nous avons souvent rappelé les douloureux événements de 1994 et de 2009. Raison pour laquelle nous ne les croyons pas capables de franchir le rubicond.

Et pour cause : le 25 janvier 2011, sitôt terminée la prestation de serment du Précédent André Mba Obame et la formation de son gouvernement fantoche, tout le monde s’était empressé, au pas de course, de se réfugier à la représentat ion nat ionale du PNUD, alors que personne, pas un seul pandore, ne s’était lancé à leurs trousses.

Un mois durant, ils avaient abandonné femmes, enfants et bonami( e)s. Ce qui est une parfaite illustration de la conception que les uns et les autres ont du mot « courage »

 

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Gabon: Un petit sous-chef de gang se fait coincer à l'aéroport

 

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S’il avait pris la mesure de la faute à venir, planifiée par le Précédent André Mba Obame et commise le 25 février 2011, aurait-il quand même sauté le pas ? « Il », c’est notre compatriote Paul Marie Gondjout, ci-devant cadre du défunt parti politique Union nationale et, accessoirement, ministre dans le fantomatique « gouvernement » d’Ange Noir.

Le pauvre « sinistre », qui vient d’être empêché d’embarquer à bord d’un aéronef en partance pour Lutèce (Paris) où il devait certainement aller prendre des nouvelles sur l’évolution de la santé de son « précédent » bien-aimé.

Problème, arrivé à l’aéroport de Libreville, il lui a été sèchement conseillé de rebrousser chemin et d’aller faire des brasses dans sa piscine de La Sablière.

Mais comme tout le monde le sait belliqueux, le Paul Marie n’a pas raté l’occasion à lui offerte pour se… donner en spectacle. D’où, furibard, il a tenu à donner de la voix et à crier à la dictature émergente et au non respect des droits de l’homme par le régime de Libreville.

Ce à quoi les agents de la PAF (police de l’air et des frontières) ont répondu par un haussement d’épaules avant d’asséner, un tantinet moqueurs : « Monsieur Gondjout, vous avez intérêt à la boucler, car vous savez très bien vous êtes sous le coup d’une interdiction de quitter le territoire national. Alors, ne faites pas comme si vous l’ignoriez. »

Quelques heures plus tard , « le scoop » était diffusé sur les antennes d’une « Radio mondiale »(sic), scoop par lequel Paul marie Gondjout aurait été éconduit à cause de son appartenance au gouvernement d’André Mba Obame.

Contacté par Le Scribouillard, un agent présent ce jour-là à ADL témoigne (31/7) : « Vous faites bien d’appeler pour recouper cette information qui nous a tous surpris ici, à ADL. Pour nous, Monsieur Paul Marie Gondjout est un affabulateur hors pair car personne ne lui a dit ce qu’il a déclaré aux journalistes de RFI. Il lui a été signifié qu’il était sous le coup d’une procédure judiciaire qui n’a rien à voir avec le gouvernement de Monsieur Mba Obame . D’ailleurs, je vous rappelle que des ministres de ce fameux gouvernement entrent et sortent librement du territoire national. C’est le cas par exemple de Monsieur Bruno Ben Moubamba, qui en était pourtant le ministre des affaires étrangères . Comme vous pouvez le voir, Monsieur Gondjout sait, en son fort intérieur, pourquoi il a maille à partir avec la justice de son pays. »

Et voilà l’arroseur arrosé, pris en flagrant délit de mensonge !

 

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Gabon: Une énième bourde de l'hooligan Mba Obame

 

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AMO porte en lui les germes de l’amateurisme et du pis-aller . Chaque fois qu’il sort, c’est la catastrophe, la guigne ! La dernière trouvaille en est la preuve.

Vouloir imposer les assises d’une nouvelle conférence nationale relève autant d’une lubie que de calculs bassement politiques . Davantage lorsque ce forum est soustendu par un préalable : la dissolution de l’Assemblée nationale et du gouvernement et la nomination d’un premier ministre de transition.

Au nom de quoi, faut-il procéder à ce chambardement à un moment où les institutions nationales ne courent pas un péril ? Prenons le cas du Mali. Ce pays court un danger de partition. Sur le plan international, cela est formellement reconnu.

A aucun moment, le président n’a osé franchir le rubicon en annonçant que le pays est désormais coupé en deux ! Bien au contraire, malgré d’ immenses difficultés, il reste dans ses obligations républicaines en mettant en place les institutions chargées de résoudre la plus grave crise que traverse ce pays.

Au Gabon, chacun voit midi à sa porte. Sous le prétexte qu’on agit au nom d’une « démocratie véritable », AMO réclame la dissolution des institutions. De ce démocrate véritable, parlons- en ! Les Gabonais ne parlent pas. Cela ne signifie pas qu’ils sont amnésiques. Point du tout !

Il y a peu, le véritable démocrate, piqué par une horde de moustiques tsé-tsé, a convoqué son monde au siège du parent Zack, à l’ancienne SOBRAGA. Certains de ses compères ne savaient même pas de quoi il retournait. Quand enfin il a pris le micro, AMO annonce avec la plus grande solennité que c’est lui le président élu par les Gabonais en 2009.

Et hop, il nomme un premier ministre et un gouvernement parallèle. Kpa, kpa, kpa ! Lui-même applaudit autant pour lui, pour le PM et le gouvernement ! Puis, en se rendant au petit coin, il s’est rendu compte du désastre qu’il vient de commettre.

Pris de remords, il demande à son gouvernement, du moins ceux qui ont accepté cette pitrerie, de le suivre. Ils l’ont suivi. Jusqu’à l’intérieur des locaux du PNUD, si tués à l’époque derrière le palais de justice de Libreville.

Question : dans quel pays de la CEMAC (nous sommes situés dans cette zone), pareille « connerie » peut-elle être commise au vu et au su de tout le monde ? Citez un seul pays de la sous-région où cette foutrerie est exécutable ? Au Tchad ou au Centrafrique ? Inimaginable !

Au Congo ? Les blindés auraient délogé le et son équipe ! Au Cameroun ? L’unité spéciale aurait attaché comme un porc-épic l’enfant de Medouneu et il aurait été traîné dans les rues avant enfermement ! A « Pagna », ç’aurait été pire ! Ce sont les orgues de Staline et le corps paramilitaire constitué d’Israéliens qui aurait lancé un assaut fumant contre la propriété de Zach’ avec les conséquences qu’on devine.

Au Gabon, tout ceci fait rigoler. Et on rigole, les dents en récréation ! Jeté hors du gouvernement, quelle menace a proféré môssieu AMO ? Il a dit, souvenez-vous : « Vous entendrez parler de moi. » Que signifient ces paroles sibyllines ? En tout cas, il ne s’est pas agi d’une formule destinée à draguer une nana en or ni un truc pour accéder à un poste de DG. Non !

Partout dans le monde, cette phrase aurait connu une suite judiciaire. Sauf au Gabon, un pays « spécial » où il est loisible d’insulter, d’invectiver, de narguer, de couillonner, de se passer pour le roi lorsqu’on est moins qu’un clown ! AMO menace, on le regarde faire. Pendant qu’on y est, qu’on le félicite, qu’on l’élève au rang de grand Maître de l’ordre Equatorial ! AMO menace, et on se gausse.

Avant son évacuation sanitaire en Afrique su Sud, le bonhomme s’est tapé le luxe de ridiculiser le procureur de la République chargé de lui délivrer une convocation de la justice. S’étant fait entourer par ses supporters et autres bangandos (leurs identités sont connues), AMO a proprement fait chasser de sa ville le pôvre magistrat, après l’avoir agoni d’injures !

Remontons dans le temps. Ce type d’AMO qui croit être à l’abri du regard du peuple n’a qu’à bien se tenir. Qu’il se tienne tranquille, car il n’y a que son frère ABO qui a de la clémence à son égard. Nombreux sont les compatriotes qui veulent en découdre. Eh oui ! La dépouille du vénérable Omar Bongo Ondimba est encore entreposée à la morgue de la clinique barcelonaise où il a rendu l’âme tandis que le Medounois préparait ses plans diaboliques.

Le peuple gabonais pleure son président, AMO exécute un coup qui a surpris la planète entière. L’ex-ministre de l’Intérieur, vraisemblablement avec certaines complicités espagnoles, parvient à aller s’inc l iner devant le corps d’Omar. C’est cela la version officielle car nous ignorons ce que l’homme assoiffé a pu faire d’autre sur le dépouille du disparu.

Après cette partie ténébreuse, l’homme s’est fendu de la « déclaration de Barcelone » selon laquelle il aurait reçu l ’onction du père Omar pour prétendre au trône. Voilà comment un affabulateur parvient à ses fins.

Dans un pays de droit, ne pouvant établir le scénario qui s’est déroulé entre AMO et la dépouille du président défunt, sa candidature aurait dû être invalidée à la présidentielle anticipée d’août 2009. Mais, encore une fois, nous sommes au Gabon, pays du bonbon et des libéralités. AMO s’est donc présenté à la présidentielle.

Aujourd’hui, on se mord les doigts avec ce candidat atypique… Un gaffeur né, ce type ! Rien ne peut être tiré du fils impudent et fantasque d’Omar. Oui, il est fils de l’ancien président, et alors ?

Peut-on se prévaloir de cette position pour mettre en danger les institutions ? Peut-on se prévaloir de cela pour réclamer une conférence nationale ? AMO n’est qu’un copiste et un mauvais copiste.

Sait-il d’où vient l’idée des conférences nat ionales ? El le vient du Bénin, qui en a organisé les assises en 90. Comme le Gabon d’ailleurs. Après le Bénin et d’autres pays sur le continent, AMO le grand politologue peut-il nous dire quel autre pays a réorganisé une conférence nationale ?

Allez, qu’il nous foute la paix ! Qu’il aille organiser sa conférence à Medouneu avec les cabris, les rats et les poules !

 

03/08/2012

Gabon: L’opprobre d’une opposition manioc sans foi ni loi

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On savait que le Gabon disposait d’une race d’opposants aux relents va-t-en-guerre, mais personne ne pouvait imaginer que André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong et leurs affidés d’une société dite civile étaient capables d’actes blâmables, de forfaiture, d’antipatriotisme et d’ignoble allégeance à des puissances extérieures. Le pot aux roses vient d’être mis à découvert et sur la place publique par ces leaders de l’ex-Union nationale (UN) eux-mêmes.

En effet, tout dernièrement, à la faveur du récent séjour du président Ali Bongo Ondimba en France et pour tenter vainement de transformer leur cuisant échec parisien en une supposée victoire politique, les fameux « vrais opposants » que compte notre pays sont allés vraiment trop fortement dans leur inique volonté d’embobiner les populations gabonaises.

D’abord, en annonçant de manière éhontée qu’ils auraient été reçus par de très hauts officiels français lors de leur mémorable et publique déconvenue de Paris et que tout le monde a suivie à travers plusieurs médias de l’Hexagone d’ailleurs.

Seulement on attend toujours vainement que les médias locaux de l’ex-UN fassent découvrir à l’opinion nationale et internationale le film et les échanges des propos qui ont marqué ces fameux entretiens entre le président Hollande avec ses représentants.

Dans tous les cas, Hollande et les siens ont déjà une bien bonne idée de ce que racontent et représentent les présumés « vrais opposants » gabonais. Lesquels ne peuvent même pas avoir la pudeur de mêler des dignitaires français dans leurs inconséquents égarements et grossières affabulations.

Ensuite et sans sourciller, les leaders de l’ex-UN clament à qui veut les entendre qu’ils auraient sollicité et obtenu de la part des autorités publiques françaises, particulièrement de Hollande, l’organisation au Gabon d’une conférence nationale souveraine.

Laquelle devant déboucher, selon certaines sources proches de ces opposants, sur « la dissolution des institutions républicaines, la suspension de la loi fondamentale du pays qu’est la Constitution, le remise en cause de l’actuel gouvernement et son remplacement par une équipe gouvernementale dont Mba Obame, Myboto, Eyéghé Ndong, Ona Essangui seraient les piliers. »

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Autant dire que, pour parvenir au pouvoir et diriger à nouveau le Gabon, les « vrais opposant s » entendent prendre leurs ordres de la part des officiels de Paris. Un véritable comble donc pour l’indépendance du Gabon !

Une grave contradiction aussi pour les sieurs Mba Obame, Myboto, Eyéghé Ndong et autres qui, par le fait de s’en remettre désormais aux autorités françaises, ont soudainement omis qu’ils pourfendaient toujours la « Françafrique ». Qu’est-ce que les chemins de la politique politicienne peuvent alors être aussi tortueux que l’on ne peut vraisemblablement pas se l’imaginer.

Au point que André Mba Obame et les siens deviennent curieusement amnésiques, pour ne plus se souvenir des propos quasi durs et discourtois qu’ils avaient tenus au Gabon envers, entre autres, l’ex-président français Nicolas Sarkozy et Ban Ki Moon le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies. Tous venus d’ailleurs en visites officielles dans notre pays.

Dans tous les cas, il est tout de même ahurissant de constater que des gens de cette qualité puissent ignorer qu’au stade actuel, « le Gabon, devant la France, n’est nullement une colonie, un protectorat ou encore moins un quelconque territoire français d’Outre-mer.»

De ce fait, pour le commun des Gabonais ainsi qu’en tant qu’Etat souverain et indépendant depuis plus de cinquante ans, « le Gabon n’a aucune injonction ou directive formelle et exécutoire à recevoir de n’importe quel le aut re nat ion du monde. »

Et c’est donc dommage que ce soit de tels opposants qui, malgré leurs statuts du passé, puissent se comporter de manière aussi grotesque, pathétique et blâmable devant des autorités publiques d’un nation étrangère, fut-elle la France.

C’est dire que si, par extraordinaire, ces « vrais opposants » gabonais avaient pu hériter du pouvoir dans ce pays, ils auraient alors remis le Gabon sous domination française. Et comme n’a pas hésité à la dire récemment Alain Claude Bilié By Nzé, le Porte-parole de la présidence de la République, « l’on verrait tristement et à nouveau le drapeau tricolore français flotter sur les immeubles, places et autres espaces publics de notre pays.»

Heureusement que les autorités françaises ne sont pas si fourbes et léonines que ça pour oser ne serait-ce que penser à la production d’une telle imposture et ce, surtout face à l’opinion internationale. Eh oui ! Voilà ce que valent réellement nos « vrais opposants » gabonais. Triste non ?

 

Source : Le Scribouillard du jeudi 2 août 2012 

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

Gabon: faux débat sur l’expertise supposée des « vrais opposants »

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Décidemment , à court d’arguments pour mobiliser les populations gabonaises et vue de revenir au pouvoir par les voies constitutionnelles, les ex-leaders de l’Union nationale et leurs porte-voix se livrent plutôt à des actions de diversion en vue de semer la confusion dans l’esprit des honnêtes citoyens.

Il faut le dire et le dénoncer car, à longueur de journée on entend par ci et par là des cris d’orfraie lancés par les nouveaux charlatans politiques contre le gouvernement, dont le seul « péché mortel » est d’être aux commandes ?

Un faux débat qui mérite qu’on le mette sur la table afin de savoir qui est réellement plus expert et nationaliste que qui. Cela passe, bien entendu, par un examen de passage : qui sont ceux qui ont rendu ou rendent service à ce Gabao bien-aimé ?

En effet, tout le monde sait que du vivant du président Omar Bongo Ondimba, ce pays a entrepris, avec le concours de plusieurs organismes financiers internationaux, la réalisation d’énormes projets visant à renforcer le réseau routier national. A l’époque, un certain Zacharie Myboto était attributaire du ministère des Travaux publics et de la Construction.

On se souvient d’ailleurs que ledit ministre d’Etat de l’époque avait même trimbalé le défunt président de la République à travers le territoire national. Objectif, selon Myboto : « Qu’Omar Bongo Ondimba constate de visu comment la route avance et qu’il pose à nouveau un certain nombre de premières pierres destinées marquer le processus de densification du réseau routier national. »

Si les pontes on oublié, le peuple a une mémoire d’éléphant ! Ré sul t a t de s courses: zéro pointé, rien de sérieux ! Quant au ministre de l’Education nationale du moment, un certain André Mba Obame, il avait visiblement rendu furieux Zach’. Savez-vous pourquoi ?

Parce que le trublion de Medouneu avait proposé « l’appréciation du réseau routier national » comme sujet à un examen officiel. Il a fallu l’arbitrage d’OBO pour ramener la sérénité au sein du gouvernement gagné par une petite panique.

Grâce à la détermination du président Ali Bongo Ondimba, on peut se réjouir des premiers résultats. Des tronçons routiers sont réalisés à travers le territoire national. Les faits parlant d’eux-mêmes, on espère que Zach’ n’ira pas jusqu’à se prévaloir de la paternité de certaines réalisations.

Cas du tronçon Lambaréné- Fougamou-Mouila. Serait-on étonné qu’il annonce à ses fans que c’est lui qui a laissé les plans en partant des TP ?

Sur un tout autre plan et toujours sous l’ère d’OBO, d’importants projets de réhabilitation et de construction d’établissements scolaires avaient été initiés par l’Etat en partenariat avec d’autres organismes financiers dont la Banque africaine de développement.

A l’époque, l’un des ministres les plus en vedette n’était autre qu’AMO dont le passage à l’Education nationale a été même marqué notoirement par des sombres affaires de tricher ie aux examens et d’une distribution gratuite des manuels scolaires non ressentie positivement par les ayants-droit. Ici également, il a fallu que le président Ali Bongo Ondimba accède au pouvoir pour que les choses changent du jour au lendemain.

Et aujourd’hui, place est maintenant à la consolidation, à la modernisation et à la délocalisation effectives de nos infrastructures scolaires au niveau tant du primaire, du secondaire que du supérieur. Tout comme on ne relève plus des problèmes de blocage ou de reprise des examens et concours pour de sombres raisons de tricherie ou de non-paiement des primes des enseignants commis à la surveillance, à la correction ou à l’organisation des épreuves.

Pourtant l’expertise d’AMO n’est plus là pour faire en sorte que tout se passe désormais mieux que pendant la triste époque où il pontifiait. Au demeurant, on se souvient que, de par sa formation dans le domaine de la sécurité sociale, Jean Eyéghé Ndong était Premier ministre lorsque le président OBO lance l’idée de la création de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAMGS).

Seulement, il est notoire que ce « dernier Premier ministre d’Omar Bongo Ondimba » n’a pourtant rien fait pour que la CNAMGS voie effectivement le jour et soit reconnue comme une référence par plusieurs autres pays du continent africain.

C’est dire donc qu’il aura fallu l’arrivée au pouvoir d’Ali Bongo Ondimba et le savoir-faire d’autres talentueux Gabonais pour que les choses s’accélèrent, se consolident et suscitent l’admiration des responsables d’autres pays.

Autant d’exemples qui, loin d’être exhaustifs, prouvent à suffisance que le supposé amateurisme que le trio André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong et autres affublent au président Ali Bongo Ondimba n’est que la résultante de la honte qu’éprouvent ces derniers.

Surtout en regardant amèrement l’actuel N° 1 gabonais réussir là où ils ont manifestement et lamentablement échoué.

Une réussite d’Ali Bongo Ondimba qui ne date pas d’ailleurs d’aujourd’hui et continue toujours de faire des envieux, depuis ses réalisations au ministère des Affaires étrangères et surtout à celui de la Défense nationale.

 

Source: Le Scribouillard du jeudi 2 août 2012 

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

Gabon: Apocalypse chez vous !

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L’opposition allant en ordre dispersé, son action perd en lisibilité. Et en cohérence. Ainsi, la notion de « crise » et la tenue d’une « conférence nationale » fait-elle l’objet de mille interprétations. Il a fallu que d’autres figures de l’opposition se mêlent de la partie pour qu’on voie un peu plus clair dans le charabia quotidiennement déversé par le bastion de l’ex-SOBRAGA.

Me Séraphin Ndaot Rembogo (PDS) a une approche dialectique de la crise allant de la sphère institutionnelle jusqu’au panier de la ménagère en passant par le côtoiement dans notre pays entre pauvres et riches. Présenté ainsi, cela concerne tout le monde. Entendu au Gabon, en Afrique, en Europe… Rentrant fraîchement de l’Hexagone, n’y ont-ils entendu parler de la crise qui secoue la patrie gauloise ? La crise n’est pas une exclusivité gabonaise ainsi que le pérore les Zach-AMO-boys.

Pour sa part, Richard Moulomba Mombo (ARENA) promeut un dialogue politique pour débloquer la situation. Or, c’est tout le contraire chez les Zach-AMO qui, le feu et la flamme à la bouche, font l’apologie d’une conférence nationale ! Le dialogue ! Nous avons l’impression qu’on a pensé à un grand homme a posteriori. Lui qui, des décennies durant, a bataillé au milieu de la meute pour crier un mot, un seul mot en huit lettres : DIALOGUE. Paradoxe des paradoxes, le credo d’Omar Bongo Ondimba est sorti de la bouche d’un membre de l’opposition, en l’occurrence Richard Moulomba Mombo qu’on ne peut soupçonner d’hérésie.

Nous sommes en face d’une opposition hétéroclite. Quand on a affaire aux zachophiles et amophiles, c’est la politique de la terre brûlée, le chantage, la malveillance. Tout donne à croire que l’apocalypse est aux portes du Gabon. Lisez les discours de l’ancien ministre d’Etat, de l’ancien ministre de l’Intérieur et de l’ancien PM. Leur langage ne s’adresse pas aux compatriotes, mais à des ennemis. Tribalistes jusqu’au bout des orteils, ils apparaissent comme des guerriers d’une autre époque.

Le cas de cette conférence nationale bis en est tout un symbole. Va-t-on passer le temps au Gabon à ne faire que de la politique et de la farce grandiloquente ? Ceux qui crient à la pauvreté savent-ils que nous payons la facture des années 90, essentiellement consacrées à la politique politicienne ? Comment sortir de ce cercle infernal et faire travailler les gens dans ce pays ? Comment faire reculer la précarité ? En réorganisant une nouvelle conférence nationale ?

 

Source : Le Scribouillard du jeudi 2 août 2012 

https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

Gabon: Un Guinéen,ovono lambert, bastonné admirablement par des jeunes ...

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De plus en plus esseulé dans sa tour d’ivoire, l'hooligan MBA OBAME André Jean Claude n’a aujourd’hui plus confiance qu’en une seule personne : OVONO Petit Lambert dit PLO.

Certains comprendront aisément les mauvais choix politique d’AMO à la lumière du point commun favori qui le lie à cet homme : Réussir l'incroyable pari de Faire voir la lune en plein Midi aux Gabonais crédules !

L’histoire étonnante de ce tranche-montagne condamné à vie par son prénom d’emprunt, commence un matin de 1956 (année officielle de sa naissance) à Ebebiyin, un village situé en pleine forêt de la Guinée-Equatoriale.

C’est en ces lieux que notre ami à l’identité gabonaise usurpée, naquit sous le véritable nom de : BALTAZAR ISIDORO MANGUE EKORO.

Menacés par la dictature sanguinaire de l’ex Président de la Guinée Equatoriale, Macias NGUEMA BIYOGO qui régnait en maître dans le pays, le petit BALTAZAR prendra la fuite avec ses parents durant une nuit glaciale aussi courte que sa taille en 1969, pataugeant entre les lianes peu rassurantes de la forêt équatoriale où seuls les moustiques et la peur d’une mauvaise rencontre leur tenaient compagnie.

Une seule destination hantait leur pensée et guidait leur pas : BITAM, ville de l’espoir, dans le Nord du Gabon à quelques encablures de son enfer natal. Les Bitamois offriront à Baltazar et sa famille l’hospitalité et même la nationalité gabonaise.

C’est ainsi qu’inspirée de sa petite taille, la famille d’accueil du petit équato lui fera grâce d’un nom d’emprunt: OVONO petit Lambert.

Mais entre 1969 à nos jours, que s’est-il passé pour que le petit Baltazar devenu Lambert daigne oublier d’où il vient et qui l’a fait " roitelet " quelques années seulement après sa scolarité hypothétique et pathétique au CUSPOD ?

Ce pisse-froid, prêt à tout pour effleurer les cercles du pouvoir, demeure malgré son passé sulfureux rongé par certains complexes. En effet, dans l’ex parti de son gourou du moment, il est l’un des rares à n’avoir jamais connu la gloire du temps où tout le monde était à la soupe.

Et ce complexe n’a malheureusement point contribué à améliorer l’image d’un besogneux au charisme comparable à celui d’une serpillère mouillée, une sorte de gueux revêtu par un coup de hasard, lorsque dans ses largesses parfois incomprises, le défunt Président Omar BONGO ONDIMBA fera de lui un éphémère Conseiller à la Présidence de la République sans l’avoir jamais rencontré, ni même lui avoir fait un signe de la main à travers les vitres de son bureau.

C’est d’ailleurs ALI BONGO ONDIMBA dès le début de son Magistère Présidentiel et dans sa chasse aux fumiers et fantômes de la Fonction Publique, qui mettra fin à cette supercherie bien huilée, grâce à laquelle l’équato devenu gabonais opèrera plusieurs années durant, les caisses du contribuable gabonais avec résidence à Paris.

Fort de ce palmarès pour le moins « modeste », petit BALTAZAR fait désormais figure de profane. Mais c’est sans compter sur sa volonté de devenir ce grand « Dircab » qui règlera à chacun ses comptes, qui aura la main mise sur la gestion politique du pays, qui règnera en maitre à la Présidence de la République, sa Présidence de la République à lui, celle de ses rêves mal colorés, celles de ses fantasmes illusoires.

On comprend ainsi la fixation de l’homme sur l’actuel Directeur de Cabinet du Chef de l’Etat, jusqu’à lui prêter des pouvoirs et des actions virtuels fantasmagoriques !

Sans faire de psychologie, on pourrait alors imaginer aisément pourquoi petit BALTAZAR ne parvient guère à contenir ses propres désirs. Car même si l’on passait un imbécile au pilon comme on broie des grains dans un mortier, on n’arriverait pas à en extraire sa bêtise.

Telle est aujourd’hui la caractéristique maîtresse de ce Clampin venu des tréfonds de la Guinée Equatoriale et qui met son outrecuidance au service des ténèbres pour vaticiner tel un charlatan, contre les intelligences de notre pays.

Mais attention, l’ambition de petit BALTAZAR n’est pas uniquement celle de quelqu’un qui, ne trouvant pas sa place dans la politique actuelle a décidé de se lancer dans le mercantilisme de mauvais aloi en faisant un usage satané de l’Obstruction.

Il s’agit plutôt de quelqu’un dont le plan de vie repose sur une multitude de suppositions farfelues et de scénarios aussi invraisemblables les uns que les autres. On peut même dire dans son cas, que ce n’est plus l’espoir qui fait vivre mais les hallucinations qui font survivre.

Car dans les chimères de ce futur « DC » entendez par là « Doyen des Chômeurs », son idole fera de lui l’équato-guinéen le plus célèbre du Gabon. Ainsi, il ne sera plus question pour lui d’émettre des chèques sans provision mais plutôt de régler en cash !

Cash comme la brutalité de la réalité chaque matin à son réveil. A tel point qu’il ne dort plus, il consacre sa vie à baver et discourir des fiançailles de ses grands-mères, contre Ali BONGO ONDIMBA lorsqu’il ne s’en prend pas à son Directeur de Cabinet Maixent ACCROMBESSI, dans le seul but d’une part, de convaincre son mentor(AMOral) de la sincérité de son engagement, et d’autre part d’attirer l’attention du Chef de l’Etat.

En effet, les demandes d’audience du petit BALTAZAR (dont la dernière en date du 5 Juillet 2012 à l’hôtel Georges V à Paris), restent jusqu’àlors sans suite, telle une tentative de braquage à arme blanche et visage découvert au siège de la Banque Mondiale (Imaginez le scénario de son échec) !

On pourrait d’ailleurs se poser la question de savoir ce que faisait notre ami tous les matins de la mi-juillet à Août 2009 au QG de campagne du Candidat Ali BONGO ONDIMBA à la Sablière ?

Malheureusement pour lui, personne ne voulait le recevoir à tel point que même le chien du gardien avait reçu pour consigne de le pourchasser et le mordre à chacune de ses apparitions devant le QG.

Aujourd’hui malgré la misère dans laquelle il survit en France, on s’interroge sur la question de savoir pourquoi petit BALTAZAR ne rentrerait-il pas au Gabon ?

D’après nos informations, l’impétrant serait sous le coup d’une condamnation par le Tribunal de Libreville pour avoir émis des chèques sans provision.

Sincèrement connaissant la magnanimité du Chef de l’Etat, et le manque de personne qualifiée en cirage de pompe au PDG il ne serait pas étonnant qu’un geste soit fait en la faveur de ce « Gabonais » économiquement faible, politiquement inexistant, et mentalement rabougri par une anesthésie générale de son intelligence, digne des plus grands hôpitaux indiens.

Monsieur BALTAZAR ISIDORO MANGUE EKORO "alias" Petit Lambert OVONO, vous vous reconnaîtrez certainement dans cette maxime inspirée de la Sainte Bible selon laquelle: « Le Chien retourne à ce qu’il a vomi et le Sot recommence ses Bêtises », alors cher petit BALTAZAR, préfériez-vous « retourner à ce que vous avez vomi », ou « recommencer vos Bêtises » ? La réponse probablement dans votre prochain torchon médiatique. Respectueusement Vôtre.

 

Auteur : La Jeune Garde


01/08/2012

Gabon: Rêve ubuesque du gang des potiches ...

 

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Comme pour la plupart d’entre nous, il nous est arrivé de rêver qu’on est devenu millionnaire, d’être propriétaire d’une maison de luxe, d’avoir une belle voiture, de coucher avec la plus belle femme du monde, d’avoir un avion, bref d’être sorti de l’ordinaire.

Malheureuse à notre réveil, la triste réalité nous rattrape. Nous sommes restés les mêmes. C’est-à-dire, ce qui nous étions avant que le sommeil ne nous emporte.

En Août 2009, ils étaient 23 candidats à rêver de devenir président du Gabon. Le 30 du même mois, un seul a vu son rêve se réaliser. C’est Ali BONGO ONDIMBA.

Mais comme dans tous les rêves, il y en a qui pensait que c’était la réalité. Ce Groupe là est composé de MBA OBAMA, MYBOTO et EYEGHE NDONG, l’autre groupe composé d’anciens candidats, a jeté l’éponge, reconnaissant même la victoire de leur adversaire d’hier.

Pour les anciens candidats du premier groupe, rien n’est encore perdu. ABDOULAYE WADE est bien devenu Président de la République du Sénégal à 74 ans. Pourquoi pas nous.

Seulement, ils ignorent que personne parmi eux n’a le passé politique d’ABDOULAYE WADE. Ce dernier n’a pas pillé son pays avant de solliciter sa gestion par ses compatriotes. Il était avocat. Donc loin des affaires de l’Etat. Il portait donc la veste estampillée : crédible opposant.

A contrario, nos sexagénaires et plus ont roulé leur bosse dans les ministères juteux. Ils ont fait fortunes avec l’argent du contribuable gabonais pendant plusieurs décennies.

Certains ont même été poussés à la porte de sortie par celui-la même qu’ils vénèrent aujourd’hui. De toutes les façons, il n’y a pas de honte à cela. L’essentiel pour eux c’est d’exister politiquement. Leurs vestes sont estampillées : opposants-pédégiste pas crédibles.

A partir de cette petite comparaison on peut aisément comprendre que la voie qui mène au Palais du bord de mer et encore longue et difficile. Il l’a rende même très difficile.

Pour preuve, alors que nos amis sortent d’une difficile et pénible campagne présidentielle en Août 2009, les voila repartis en juin 2010, pour une autre campagne électorale, pour devenir cette fois-ci député.

Après s’être rendu compte de leur bourde, ils se ravisent en s’auto-proclamant Président de la République du PNUD.

Comme vous le voyez, devenir Président de la République d’un pays n’est pas une simple vue de l’esprit, mais bien une ambition hautement pensée et soutenue par des actes cohérents et crédibles.

En jouant chaque fois aux marionnettes, nos soi-disant opposants, montrent à la face de ce monde qu’ils n’étaient pas préparés pour assurer la fonction suprême. Pour eux ce n’était qu’un rêve !

 

29/07/2012

Myboto, Eyéghé et Mba Obame en pleine crise alimentaire

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Décidément, comme la nature sait très bien faire les choses !

Car adeptes du craning à Libreville, où ils roulent les mécaniques devant leurs maigres troupes et leurs suppôts étrangers qui n’ont jamais mis un traitre pied au Gabon, les leaders du gang de l’opposition manioc et certains cirreurs de babouches viennent de subir un cinglant revers à Paris.

Le genre de revers qui ressemble à une cruelle humiliation politique et diplomatique. Et dire qu’ils se prenaient pour des professionnels de la politique !

C’est totalement dépités et les coeurs meurtris que Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong et André Mba Obame et leurs seconds couteaux du nouveau parti politique moutouki brainforest ont vécu la rencontre au sommet entre les présidents gabonais et français le 5 juillet dernier, au palais de l’Elysée.

Depuis, ils sont inconsolables, les pauvres !

Cette rencontre semblait relever du surréalisme pour ces pseudos opposants qui , à cette occasion, avaient oublié que « la France n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts »(dixit le Général de Gaulle).

Ainsi donc, la logique a été strictement respectée par le nouveau chef de l’Etat français qu’est François Hollande. Lequel n’est pas aussi dupe que cela pour ignorer que la France subit de plein fouet les effets pervers de la sévère crise économique et financière mondiale qui secoue actuellement et particulièrement l’Europe.

Cette France ne peut nullement se détourner du Gabon dont la particularité est qu’il dispose d’innombrables ressources naturelles et minières, d’un taux de croissance en régulière hausse et d’une forte présence d’opérateurs économiques français qui contribuent positivement au développement de leur pays d’origine, la douce France.

Pourtant , comme des aveugles et faisant fi de réalité patente, voulant boycotter la tenue de la rencontre Bongo Ondimba-Hollande, les fameux leaders du gang de l’opposition manioc se sont rués à Paris peu avant que le N°1 gabonais, c’est-à-dire leur président, Ali Bongo Ondimba, ne s’y rende.

Objectif : mettre en oeuvre un plan d’actions à la fois cynique et ridicule ; plan basé sur l’organisation d’un conclave sur les dérives supposées de l’actuel régime gabonais en vue d’un soulèvement des gabonais de France contre l’arrivée en terre française de leur propre chef de l’Etat.

Cela, dans le but de créer les conditions propices à l’annulation de ladite rencontre. Un plan d’actions qui, malheureusement, va lamentablement échouer sur toute la ligne et ce, au grand dam de ses concepteurs.

Car contrairement à leurs vils et antipatriotiques desseins, le conclave débouchera sur des recommandations rocambolesques et ridicules aux yeux des autorités françaises et de François Hollande, le président français, qui a d’autres chats à fouetter plutôt que de se mêler des gamineries de ces anciens apparatchiks gabonais qui ont tôt fait d’occulter leur implication personnelle dans le mal développement du Gabon.

Par ces temps de luttes économiques tous azimuts, François Hollande sait où se trouvent les intérêts de son pays, surtout que la ruée d’autres puissances mondiales vers le Gabon tend à remettre en cause plusieurs acquis dont se prévalait jadis la France dans notre pays.

De plus, dans une Afrique minée par divers soubresauts politiques, sécuritaires et économiques, le Gabon du président Ali Bongo Ondimba demeure un extraordinaire ilot de paix et de stabilité nécessaires à une bonne croissance économique et à la prise de réformes structurelles multisectorielles.

Le Gabon, dont la diplomatie au service du développement commence à engranger des succès sur le plan international.

Concernant l’objectif de soulèvement des Gabonais de France, la mobilisation des troupes s’est avérée un gigantesque fiasco, puisque se résumant à deux pelés et trois tondus.

A l’opposé, l’accueil réservé au chef de l’Etat par les mêmes Gabonais de France devrait amener les fameux opposants à méditer sur la dure réalité du terrain.

Une cruauté, eu égard à la stature des leaders de la défunte Union nationale, ces anciens barons du pédégisme triomphant qui avaient vite changé de bord politique pour n’être pas arrivés à réaliser leur rêve secret : succéder à Omar Bongo Ondimba… « à tous prix ».

Résultat des courses, en recevant Ali Bongo Ondimba pour des échanges qui auront duré une heure et demie, la France socialiste vient de reconnaître, une fois pour toute, que le président du Gabon est bel et bien le successeur de feu Omar Bongo Ondimba.

Dès lors, il est clair que le faux débat entretenu sur les résultats de l’élection présidentielle du 30 août 2009 est désormais clos et que s’ils souhaitent exercer la fonction présidentielle, André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong, Luc Bengono Nsi et tous les autres pouvoiristes doivent maintenant labourer le terrain et se préparer pour l’élection présidentielle de 2016.

Ce qui devrait également les amener à ranger dans le placard la folle idée qui les habite relative à l’organisation d’une conférence nationale souveraine alors qu’il n’y a pas de crise politique au Gabon.

Car si crise il y a, il s’agit peut être de leur crise à eux, de leur crise alimentaire.

C’est ce qu’ils doivent retenir du message lancé par François Hollande en recevant son homologue gabonais pour une visite officielle.

Pour revenir à la fameuse conférence nationale des pseudos opposants, rappelons-leur ceci : ce sont eux, les mêmes, qui avaient bataillé dur pour que celle de 1990 soit… non souveraine. N’est-ce pas Myboto, Oyé Mba, Mba Obame ?

Commentaire d’un ressortissant français, installé au Gabon depuis plus de vingt ans : « Je ne voudrais pas me mêler de la politique gabonaise mais, à mon avis, le président Ali Bongo Ondimba peut dormir tranquille car face à lui, il n’existe aujourd’hui aucune opposition crédible. Je pense qu’en se comportant comme ils l’ont fait à Paris, en montrant à Paris qu’ils sont incapables de mobiliser les membres de la diaspora gabonaise, ils ont permis au régime socialiste de comprendre que c’est bien le président Ali Bongo qui est l’homme de la situation au Gabon. »

En fait, les gangsters de l'opposition manioc le savent en leur fort intérieur.


Gabon : Faux-vrais opposants, vraies élucubrations

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Visiblement mortifiés par leur cinglante dé-culottée à la présidentielle anticipée d’août 2009, les « vrais opposants » que sont André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyeghé Ndong, le « grand de ce monde » Marc Ona Essangui et Cie sombrent dans l’amertume. Le pouvoir leur a échappé !

D’autant plus que cette amertume ne fait que s’amplifier avec « les cuisants échecs résultant de la ridicule autoproclamation de Mba Obame comme président de la République, du vain boycott des législatives de décembre 2011, de la grande humiliation subie récemment à Paris… ».

Pour tenter de se refaire une hypothétique santé politique, ces « vrais opposants » n’hésitent plus à se livrer à de stupéfiantes élucubrations.

Notons d’abord que ces affabulateurs éhontés confondent « les visites à l’étranger du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba à des voyages d’agrément. » Grossière hérésie !

Selon les experts, « ces déplacements présidentiels ont débouché sur une véritable ruée des investisseurs étrangers et des rencontres internationales vers la destination Gabon. »

Avec en prime le financement d’importants projets socio-économiques de développement, la tenue dans notre pays de prestigieuses manifestations telles que la CAN 2012 et le New York Forum Africa et bien d’autres. Sans oublier l’aura diplomatique dont jouit actuellement le Gabon.

A l’évidence, il n’y a pire aveugle que celui qui refuse de voir et pire sourd que celui ne voulant rien entendre… AMO et ses comparses veulent l’organisation d’une nouvelle conférence nationale au Gabon en prétextant une imaginaire crise sociopolitique qui prévaudrait dans le pays.

Une idée tellement saugrenue que, si l’on excepte la volonté pour ceux-ci de partager le pouvoir avec le régime d’Ali Bongo Ondimba, la première conférence nationale de 1990 avait, en son temps, déjà réglé les questions qui se posaient au Gabon.

La preuve, indiquent plusieurs observateurs avertis, « Le multipartisme intégral est effectif et irréversible, les institutions républicaines existent, fonctionnent harmonieusement et sont régulièrement renouvelées. De même que les libertés d’expression, de presse, de création des partis et associations ainsi que de circulation à l’intérieur ou vers l’extérieur du pays sont toutes garanties. » On croit rêver !

Que va apporter une deuxième conférence nationale réclamée par nos « vrais opposants»? Et où sont les manifestations de cette dictature que le régime de Libreville exercerait sur les Gabonais ?

Surtout dans un pays où, malgré les prévisions calamiteuses du « vrai expert économiste » Ondo Ossa, les salaires sont tout de même régulièrement payés. Tout comme les « vrais opposants » sont libres de sortir du Gabon et d’y rentrer sans être inquiétés.

En allant se faire humilier dans les rues de Paris, que gagnent ces hommes obnubilés par leur égocentrisme ?

Une humiliation d’autant plus cruelle que les victimes ne sont que les tout puissants ex-ministres d’Etat Mba Obame et Myboto ainsi que « le dernier PM d’Omar Bongo Ondimba » Eyeghé Ndong.

Enfin, relevons qu’ayant été pris à leur propre piège, du fait que le gouvernement a mis en œuvre la procédure de la « biométrisation » du système électoral qu’ils réclamaient urbi et orbi, les « vrais opposants » sont désormais plus que déboussolés.

Et pour cause, affirment plusieurs voix, « ne disposant nullement des bases électorales que pouvaient leur offrir l’existence de la défunte Union nationale (UN), nos singuliers opposants André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyeghé Ndong, ne savent plus à quel saint se vouer pour espérer rebondir positivement lors des élections locales à venir. » Véritable supplice !

Eu égard à ce qui précède et qui est loin d’être exhaustif, un constat s’impose. A savoir qu’il s’agit là, comme l’a si bien dit le porte-parole de la présidence de la République, Alain-Claude Bilié By Nzé, « des élucubrations d’un carré d’hommes d’un passé déjà ré- volu, attachés encore à des idées passéistes et obnubilés par un désir, tant inextinguible que vain, de retrouver leurs statuts et privilèges à jamais perdus. » Sacrés opposants, tout de même ! 

 

Gabon-Conférence nationale : Le deuil des bangandos...

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Pour notre « opposition véritable », c’est comme on dit, la vraie mort. Maintenant que le Moine de Bangos vient de leur claquer la porte au nez, c’est la fin de leur rêve. Celui qui devait leur permettre de revenir aux affaires et régler de facto leurs problèmes d’intendance, ainsi que ceux de certains de leurs supporters. Bref, la galère continue…

Comme à leur habitude, l’ « opposition véritable » et sa « presse véritable » ont vite entonné le cocorico dès qu’elles ont lu l’invite à la concertation lancée par le Moine de Bangos. Pour eux, les choses étaient plus que claires.

Petit-Lambert Ovono, prostitué de la plume d’AMO : « Ali Bongo répond aux injonctions de la France. C’était la semaine dernière, jeudi 5 juillet 2012, François Hollande, le président de la République française recevait en audience, à Paris, Ali Bongo. Des informations sorties de cette audience, seul le communiqué de l’Elysée est crédible. Ni Bilie Bi Nze, le porte-parole d’Ali Bongo, ni les journalistes de Gabon Télévision, ni Ali Bongo lui-même ne disent la vérité sur le contenu de cette audience, préférant botter en touche et raconter des mensonges. Pourtant qu’observe-t’on ? Trois jours à peine après son retour au Gabon, son premier ministre Raymond Ndong Sima vient de publier un communiqué dans lequel il invite toutes les forces sociales et politiques gabonaises à une large concertation. Comment comprendre ce communiqué ? Quelle sera la réaction des Gabonais? Avant d’analyser ce communiqué dans le fond, deux choses sautent aux yeux des lecteurs. Il y a d’abord que c’est un communiqué antidaté, puis c’est la précipitation avec laquelle Ali Bongo réagit. Daté du 26 juin 2012, et diffusé seulement le 9 juillet 2012, on peut en toute logique s’interroger sur le décalage entre la date de la signature de ce communiqué et celle de sa diffusion, car cela va faire couler beaucoup de salive, d’autant plus que cela fait désordre et que le gouvernement Raymond Ndong Sima n’est pas sérieux dans sa façon de procéder. Aussi imaginer qu’Ali a le couteau sur la gorge, car il doit respecter le chronogramme et le plan de sortie de crise sur lequel il a sans doute posé sa signature à Paris et qui l’obligeait à lancer un Découverte macabre à Akok Le deuil des bangandos appel au dialogue trois jours après la rencontre de la capitale française. Il y a ensuite la mé- thode utilisée, avant de débattre du fond. Il faut le dire sans ré- serve, elle est mauvaise, et ne peut être que qualifier de brouillonne, car elle manque de diplomatie. En effet, avant de faire ce communiqué, il aurait été mieux de lancer une préconcertation des entités considérées afin d’arrêter les modalités de la concertation. En choisissant de lancer son communiqué sans remplir ce préalable, sans doute pour montrer qu’il est ouvert au dialogue, deux grandes exigences seront posées à Ali Bongo par l’opposition qui se souvient encore de la concertation du palais de bord de mer sur la biométrie et dont les recommandations n’ont pas été appliquées malgré les engagements pris. La première exigence serait donc d’examiner le document final en séance plénière ; la deuxième c’est que les décisions de cette concertation soient souveraines avec prise des décrets d’applications immédiatement durant la clôture de cette plé- nière.Ali a le dos au mur, les Gabonais ne doivent pas lui lâ- cher les baskettes. »

Bref, on allait voir ce qu’on allait voir ! Et voilà Myboto, à 74 ans, reprendre son activisme et organiser un grand show dans leur temple de l’ancienne Sobraga pour abreuver ses ouailles d’incantations proprement loufoques sur la fameuse conférence nationale.

De quoi retourne-t-il finalement dans cette affaire ?

Il se trouve que ne pouvant tenir sept ans d’opposition, Mba Obame et ses lieutenants, tout en vomissant, via leur « presse véritable », leur haine contre les étrangers au Gabon, se sont retrouvés à l’étranger, à Paris, pour aller proposer à François Hollande, pourtant un étranger, le partage du pouvoir au Gabon.

Depuis lors, on ne connaît pas la réponse que l’étranger leur a donnée puisque la « presse véritable » n’a toujours pas publié une seule ligne du communiqué de l’Elysée sur cette audience historique. Enfin, si toutefois communiqué il y en a eu.

De l’autre côté, Zeus a, comme tout le monde l’a vu, rencontré François Hollande. L’entretien a duré plus d’une heure.

On a parlé d’économie et coopération ;

de sécurité, principalement du Mali ;

d’environnement et de politique. François Hollande a salué le modèle de stabilité institutionnelle et de paix qu’est le Gabon ;

la réussite de notre transition politique ; nos performances économiques.

Car, au regard des données fournies par les institutions financières internationales, la croissance du Gabon est une référence.

A Zeus, François Hollande a clairement dit qu’il ne se mêlerait, ni de près ni de loin, de la politique intérieure du Gabon.

Le seul conseil qu’il a donné, c’est de veiller à ce que le chahut des bangandos ne vienne perturber toutes les performances ci-dessus appréciées. Et Zeus de saisir cette occasion pour demander à François Hollande, puisque c’est à lui qu’ils se sont adressés, de leur dire de se pré- senter aux élections puisque leur exigence sur la biométrie est en train de se concrétiser et que c’est même une société française qui est à la manœuvre.

Ensuite, et pour rire, les deux hommes ont parlé de football avant de se séparer. C’est dire qu’à aucun moment, il n’a été question de conférence nationale, encore moins de mé- morandum. Et dans la démarche du Moine de Bangos, il n’était pas non plus question de conférence nationale.

En s’agitant comme Mba Obame, Myboto et leur « société civile véritable » l’ont fait, ils ont finalement démontré à quel point ils ne peuvent plus tenir et sont prêts à lâcher leurs militants pour ramper à quatre pattes afin de vite revenir à table sans même se laver les mains.

De vrais bangandos !

 

 

27/07/2012

Gabon: DIABLE , ILS SONT DEVENUS FOUS !!!

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La honte et l’humiliation n’arrêteront jamais cette équipe de médisants, de trompeurs et surtout de charognes.

La course effrénée au pouvoir révèle le vrai caractère de la bande à Zacharie MYBOTO, valet de l’Albatros de Medouneu.

C’est donc dans la suite de son recueil de poème morbide qu’AMO(ral) s’est illustré le weekend dernier avec cette phrase qui restera tristement célèbre : « préparez-vous à lutter contre mon fantôme».

Pour emprunter les mots du nouveau mandjango de l’UPG c’est vraiment là de la « sorcellerie politique ».

Mais trêve de plaisanterie, le compte à rebours est en marche, un fantôme arrivera au Gabon dans quelques semaines selon ses propres affirmations, pour venir vampiriser le peuple gabonais avec une histoire de pseudo-conférence nationale dont le titre pourrait bien être : Comment prendre le Pouvoir en Evitant le Verdict du Peuple.

En effet, l’objectif de nos amis dont l’accumulation des ex-casquettes d’ex-ministres, d’ex-riches, d’ex-barons de la « crasse politique », et d’ex-militants d’un ex parti fait perdre la raison, est de prendre le pouvoir sans demander au peuple son avis car, le mot d’ordre est bien celui-là.

A défaut d’obtenir le pouvoir par la voie démocratique et le suffrage universel, l’Opposition sectaire du carrosse des charognes, souhaite se voir installer au pouvoir par tous les moyens autres que Constitutionnels.

On comprend mieux le boycott manqué des législatives, vous êtes « electio-allergènes » pour ne pas dire « electionophobes ».

La lucidité et la décence n’étant plus de mise, comment peut-on inscrire à l’ordre du jour d’une Conférence Nationale même hypothétique, la réhabilitation d’une chaine de télévision privée, Bien Mal Acquis appartenant à l’un des plus grands criminels financiers de toute l’histoire de la République Gabonaise ? Appelons cela plutôt la « conférence de l’ (ex)union nationale ».

Car, les préoccupations de ces paltoquets andropausés ne sont que celles du groupe d’animation de l’ancienne Sobraga et non celles du Peuple Gabonais.

Mais où allons-nous avec cette équipe d’opposants moribonds, au service de l’arlésienne de la politique gabonaise ?

Une équipe dans laquelle à chaque fois que cela est possible certains n’hésitent pas à envoyer des émissaires chez le président Ali BONGO ONDIMBA pour obtenir un tête-à-tête. Vous n’êtes donc même pas sincères entre vous et c’est le peuple gabonais que vous voulez entraîner dans vos facéties ?!

Ce n’est pas parce que votre leitmotiv s’est Unis nous Nuirons que vous effrayez qui que ce soit, bien au contraire, jamais de mémoire de gabonais des hommes politiques n’avaient autant suscité ire et aversion.

Et comme l’exprime ce verset biblique : « L’homme intelligent ne perd jamais de vue ce qui est sage, mais les regards du sot se portent vers ce qui demeure inaccessible ».

AMO est convaincu par une seule illusion : Celle de devenir le Président qu’il ne sera jamais !

Arrêtez de faire rêver vos quelques rares partisans, au risque d’en faire vos propres adversaires dans un futur proche tellement vos inepties sont grosses.

En effet, le 5 juillet dernier un seul et unique Président de la République gabonaise en la personne d’Ali BONGO ONDIMBA a été reçu par le seul et unique Président de la République française François HOLLANDE un point c’est tout.

Votre voyage à Paris n’a été qu’un « flop », que dis-je, une humiliation, une débandade.

Cirer les pompes aux socialistes ne trompe personne et surtout pas François HOLLANDE qui ne risquera jamais de mettre à mal les intérêts français, car la réalité c’est qu’aussi bien au Gabon que partout dans le monde que vous parcourez pour vous faire adouber, on s’accorde à dire une seule chose : Vous êtes aux Abois !!

Assumer des fonctions politiques c’est d’abord assumer ses actes. Ainsi, ceux qui croit que parce que les mois ce sont écoulés, la Justice Gabonaise les a oublié se trompent totalement.

Avant toute chose, le retour de l’albatros de Medouneu sur la terre gabonaise est synonyme d’Action Judiciaire et ce ne sont pas les répétitions de son groupe d’animation à l’ancienne Sobraga qui en changeront quoi que ce soit.

Alors chers messieurs, comprenez bien que le peuple gabonais ne laissera plus jamais votre esprit d’Usurpateur Né gangrener le pays par votre éternelle aboulie doublée d’une asthénie chronique !

 

26/07/2012

Gabon : Sale besogne des chefs de gang humiliés

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Ridicules comme ils savent l’être, AMO, Myboto, Eyeghe Ndong et compères ont entrepris la seule activité qu’ils maîtrisent à merveille : la désinfo.

Rien d’étonnant donc qu’une fois de retour au bled, ils ont réchauffé et servi à leurs militants, la soupe insipide habituelle.

En effet, après avoir joué les « Tintins » en France, ces soit disant opposants ont fait avaler des énormités mensongères à tous ceux venus les écouter religieusement.

Un comportement immoral et AMOral qui a toujours caractérisé la personnalité d’AMO : mentir et calomnier à tout va !

Jaloux et filou, ce sombre personnage qui n’a toujours pas payé ceux qui ont fait sa campagne de dénigrement de 2009, est persuadé de gagner le respect des gabonais par la ruse et par le chaos.

Sa folie de grandeur n’a aucune limite.

La preuve, pour quelques milliards, il se lance dans une tentative de vente du territoire national Gabonais au bénéfice de la Guinée Equatoriale. L’affaire a été découverte inextremis !

Que dire de ses innombrables victimes quand il était le seigneur de l’Intérieur ?

Ne parlons même pas de chez lui à Medouneu où il n’a rien fait, contrairement à ses ex collègues ministres dans leurs localités respectives.

Bref, AMO n’est qu’un piètre prestidigitateur qui embobine les esprits faibles.

Le type est un mélange rare de mytho-illuminé-lunatique qui vit dans une réalité parallèle en compagnie de ses porte-plume aux réflexions microscopiques !